17 avril 2004
Mains fébriles
En cet instant où je m’enivre,
De ton parfum que je respire,
Sous tes caresses, c’est tout mon corps
Que je te donne comme un trésor.
Puisque ton regard, je ne peux voir,
Je fais l’amour comme dans le noir,
Tes mains fébriles je ressens
Elles me font perdre tous mes sens.
Toi le Gourou de ma détresse,
Je sens tes lèvres sur mes fesses,
Je les savoure, je les invite,
A plus d’audace, comme un rite.
Ce sont ses mains qui me caressent
Ce sont les tiennes qui me pressent,
Son sexe lourd cherche son chemin,
Mais c’est le tien que j’ai en main.
Te faire l’amour est mon délire,
Mais c’est son corps qui me déchire.
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